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 POLLUTION au PLOMB
et MIEL en VILLE : des aprioris non
fondés
E-Mail de M. WOLLAST / Message du 15/11/2004 VOIR:
La
propolis a des propriétés
acaricides
article diffusé dans l'APIDOLOGIE 33 (2002) 41-50 VOIR le RESUME d'APISITE 
Source: American Bee Journal repris par l'Abeille de France N°872 été 2001 Remarque: Fait rapporté non comme une preuve scientifique mais comme un cas isolé Les laboratoires STEUART commercialisent depuis 1985 un produit appelé "Miracle Heal". Il est composé d'une base de cire d'abeilles et de lanoline. Il est indiqué pour être appliqué sur les blessures de la peau des chevaux. Nous savons depuis des années qu'il est efficace pour traiter les blessures qui cicatrisent lentement et les autres petites affections de la peau chez les gens. En septembre 1999, ce "cicatrisant miracle", a été utilisé sur un bébé de deux mois ayant subi une opération à coeur ouvert. Après l'opération, l'incision sur la poitrine s'est ré-ouverte et une tentative de réparation des tissus a échoué. Le pronostic était que le bébé allait mourir avant que la plaie ne puisse guérir. Le père avait déjà utilisé ce cicatrisant sur des chevaux et il était persuadé que ça serait efficace aussi sur sa fille. Il persuada le médecin soignant du Centre Médical des Enfants d'Atlanta de se servir du cicatrisant . Le résultat final fut que la plaie guérit complètement. Pour ceux d'entre nous qui font confiance aux produits de la ruche, ce cas est très encourageant. Il existe un bon nombre de produits pour guérir les plaies; ils sont le résultat de la recherche de grosses sociétés ayant un budget de fonctionnement à l'avenant et c'est pourtant un produit quasiment inconnu à base de cire d'abeilles qui a été choisi
Source: Le monde-Intéractif: les nouvelles technologies
Utiliser le venin d'abeille pour tuer les cellules tumorales, c'est l'idée qu'on eue les chercheurs de l'organime de recherche scientifique et Industriel de Commonwealth ("Csiro") et pour laquelle ils vont obtenir le crédit pour un montant de 1,3 millions de dollars (1,2 millions d'euros, 7,8 millions de francs français) La substance la mellitine, sera modifié afin de ne plus provoquer de réactions allergiques. Elle serait ensuite attaché à un anti-corps qui reconnaîtrait spécifiquement les cellules malignes. Les chercheurs espèrent ainsi éviter les inconénients de la chimiothérapie.
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